Le profil de la course |
Le grp c'est quoi?? Le Grand Raid des Pyrénées. Deux courses de montagne. La mienne fera 80kms et 5000m de D+. Je m'y suis inscrit en janvier 2013. Je suis a ce moment la en surpoids, j'ai pas un passif de grand sportif et je suis totalement irrégulier lorsque je me mets au sport....
N'importe quel connaisseur en trail m'aurait dit : "mais non commence par plus petit. Fais un 20kms et dans un an ou deux tu feras des longues distances." Et ils ont surement raison.
Oui mais voila j'ai besoin de défis d'envergure pour trouver la motivation et me dépasser. Je vais donc m'astreindre a perdre du poids et a pratiquer 3 fois par semaine minimum une activité sportive.
vendredi 24 aout 2013; la tension monte. Je sais
que les coureurs du 160 sont déjà sur les sentiers. Plusieurs fois
dans la journées je me demande ou j'en serais dans 24H.
Vers 15h je décolle avec le vito de
Yohan (merci a lui) qui me permettra de dormir ce soir et demain
soir. Cette solution peut onéreuse me permet en plus d'être au plus
prêt du départ.
Le chapito pour la verification des sacs |
Les stands présents |
Je déambule un peu sur les stands présent. Je pensais (bêtement surement) que les tarifs pourraient être intéressant mais c'est plutôt l'inverse...
Je décide de retourner me poser dans le vito pour éviter de me stresser inutilement.
Vers 17h30 je repars a la recherche de
JP. Je ne le connais pas encore en réel mais je le suis depuis
longtemps par l'intermédiaire de son blog. C'est quelqu'un
d'expérience et j'ai hâte de recevoir ces précieux conseils.
On se retrouve facilement et on décide
de boire une petite bière sur la place, puis une deuxième juste
avant le briefing de 18h. Le briefing a exceptionnellement lieu sur
cette fameuse place et nous sommes donc idéalement placé pour
l'écouter.
Rien de bien important mis a part la
météo qui s'annonce pas terrible. Pluie le matin, légèrement
mieux en début d'après midi puis repluie le soir... Mouais. Après
2 mois de super beau temps je suis forcement un peu déçu mais je
sais aussi que je serais plus performant s'il fait moins chaud.
Des le briefing fini on fonce vers la pasta partie. Une petite file d'attente est déjà en place mais heureusement qu'on a pas perdu de temps car les derniers auront surement du patienter pas mal de temps. Betterave rouge et tomate, patte et sauce bolo, fromage et gâteau basque. Le repas du condamné.
On file ensuite se jeter un dernier
café. Puis direction dodo.
Enfin dodo est un bien grand mot. Je ne
trouve pas le sommeil. Je regarde mon portable pour voir ou en sont
les participants du 160. David un ancien élève moto qui y
participee vient d'entrer a villelongue (lapremièree base vie).
Je ressors faire un tour au village car
je ne trouve toujours pas le sommeil. En rentrant au vito je croise
le bus des rapatriés (abandons ; blessures etc) de villelongue.
C'est pas beau a voir...
Je finis par m'endormir vers 1h du mat'
pour me réveiller a 3h et somnoler jusqu'à 4h10. Oui oui je me lève
tard car je n'aime pas rester m'énerver a attendre le départ.
Des la sonnerie du réveil je
m'habille, je me force a manger deux gâteaux sports et un peu de
lait. Dehors il pleut... je rajoute directement la veste.
Puis direction la ligne de départ. Mon
cousin et JP m'ont conseillé de me mettre dans le premier tiers du
paquet pour ne pas me faire bouchonner.
Je pars avec pour objectif de finir.
Mon chrono de prévision se situe autour de 21h de course. Je suis
dans le doute complet car ma plus longue course cette année fait
21km et ma plus longue rando course faisait moins de 40kms... En 8
mois j'ai perdu 14kg et fait une très grosse prepa mais je suis
incapable de me situer sur une épreuve longue...
le speaker nous annonce que iker
karrera le leader du 160kms arrive bientôt et que l'organisation
réfléchit a nous faire attendre 15minutes pour qu'on soit la pour
l'accueillir... Intérieurement ca me stress car je me dis que ca me
fera arriver 15' plus tard ce soir donc 15' de nuit a courir en plus
au retour....
Finalement M iker se perds un peu et
nous partirons donc à 5h05.
C'est partie !!!!!!
On commence par 2,8kms de plat. Je suis
nul sur le plat donc mon bon placement du départ me permets de me
retrouver a ma place lorsque la route s'élève. La première montée
vers le col de portet fait 11kms pour 1400m de D+. Il bruine et mes
chaussures qui sont finalement plus usées que je le pensais glissent
pas mal. J'ai un peu le ventre qui me tiraille et ca bouchonne. Bref
je me prends la tête.
D'un seul coup ca bouchonne. Une
barrière a vache bloque les concurrents donc c'est le bordel.
Quelques TDC dépassent alors que tout le monde est a l'arrêt... ca
repart après 10 minutes de surplace...
la pluie s'intensifie un poil. Le jour
se lève légèrement et je monte a ma main.
On croise un type qui nous annonce le
col a un petit quart d'heure. Quoi ?? je vais trop vite je suis
en avance a mort. Mais finalement le ¼ d'heure se transforme en
25minute et je passe le col avec un peu d'avance mais rien
d'hallucinant.
S'en suit 1,5km de descente vers le 1er
ravito. Ça galope a mort.
Ma stratégie ravito est simple. Je ne
prends que du salé et je ne m'éternise pas. Je vais donc remplir ma
poche en eau clair, mon bidon avec de l'eau + poudre Go2, quelques
tucs, une poignée de saucisson et de fromage et hop je repars en
prenant quelques minutes pour manger ca en avançant plus lentement.
Bilan > 5minutes chrono
point négatif je ne mange rien entre
les ravitos... ca ne passe pas j'ai envi de rien. Je prends juste un
cachet de sportenine toute les 1h30/2h.
la suite est « simple », un
parcours en balcon au dessus du lac de l'oule puis on rentre dans du
sentier technique (caillou, bloc etc) avec le passage des lac de
bastan puis le col de bastanet (500m de D+) et une descente bien
technique et rendue encore plus dure a cause de la bruine jusqu'au
barrage de greziolle.
Je subis un peu sur cette partie. C'est
pas réellement le genre de sentier qui me plait et je psychote un
peu. Mais bizarrement j'avance bien. Je devais passer à artigues
(ravito 2) vers 11h45 et j'ai demandé a ma femme accompagné de mes
enfants (5 et 3ans) ainsi que mes parents, exceptionnellement venu de
Bretagne pour ma course, de me rejoindre vers 11h en espérant
arriver un peu plus tôt. Mais la je sais que je vais arriver avant
11h... merde vont ils être la ?? vont il pouvoir me filer ce
qui était prévu ??? je leur ai fait faire 50kms pour
finalement être déjà peut être reparti....
Lorsque je rentre dans artigues je
guète a droite et gauche et j'aperçois ma femme seule sans les
enfants... Elle ne me reconnaît pas. Elle m'explique que la route
pour monter est bloqué a cause des accompagnateurs que ma mère a
pris le volant pour que ma femme puisse descendre a pied a travers
champs.... Mon père a décidé de venir en vélo mais a pris du
retards. Tout cela me stress et je tourne en rond. Ma mère arrive
avec mes enfants, un petit bisous très (trop) rapide et hop je
redecolle à fond. Bilan >moins de 10'
Après artigues c'est LE morceau. La
montée du pic du midi. 10,5kms pour 1700m de D+. Après 5minutes je
me rends compte que j'ai zappé de prendre quelques trucs que ma
femme m'avait apporté (mon prévisionnel des temps de passage par
exemple...) ; ca m'énerve et je m'en veut.
J'ai reconnu cette montée et je sais
qu'elle me convient bien. Je ne dois pas partir trop vite car la fin
est très dure.
On commence a voir des gars en rade sur
le bord du chemin. Il fait froid par endroit et doux a d'autres...
J'ai décidé de ne pas quitter ma veste pour ne pas risquer de
prendre froid.
On arrive enfin au col de secours. Je
bois un petit verre de coca. Le bénévole qui me sert est super
gentil. Un petit jeune de 18/19ans très agréable qui me parle et me
file la gniak. A ce moment je me demande comment un petit gars comme
ca se retrouve la un samedi a se cailler les miches pour aider des
trailleurs. Et surtout comment peut il rester si agréable alors
qu'il voit défiler tout ce monde. Un très grand merci a lui et tous
les autres bénévoles.
Après sencours on va monter jusqu'au
pic. La particularité de cette étape est qu'on croise ceux qui
descendent. J'ai vraiment apprécié ce moment. J'ai félicité
durant toute la montée ceux qui descendaient. Ça m'a fait passer le
temps. Je cherche JP car il a prévu de faire moins de 17h donc
logiquement je vais le croisé dans la montée assez rapidement.
Mais je vois que je suis très en
avance sur ce que j'ai prévu et que je ne suis même pas loin des
temps de passages qu'il m'a annoncé la veille... Suis je parti trop
vite ?? Vais je le payer plus tard ?? m'en fou au moins si
je m'écroule j'aurais de la marge sur les barrières...
Finalement je le croise à quelques
encablures du sommet. Il a l'air surpris de me voir. Il a subit une
hypo dans la montée et n'a pas trop la pèche mais je sens qu'il ira
au bout.
J'arrive a mon tour au pic. Le soleil
est légèrement présent mais aucune vue.... dommage. Nous sommes a
2876m et la vue est sublime normalement... Je bipe à 14h06 soit 1h30
plus tôt que prévu... Ouahhhh j'ai même 30minutes d'avance sur les
temps de passage de mon cousin qui avait fini en 19h20... oula je
sens que ca va se payer plus tard.
La descente est super agréable aussi
car je booste ceux qui montent. C'est super des les voir relever la
tête quand je les félicite d'être la et qu'ils arrivent bientôt
en haut. L'ambiance me plait.
De retour au col de sencours je croise
une collègue de boulot surprise de me voir faire du trail... je
reste 2' discuter mais c pas tout ca j'ai quand même une course a
finir.
Au second passage au col (donc a la
descente) on peut se ravitailler en solide a l'intérieur d'une
vieille bâtisse. C un peu exigüe et l'ambiance est pas au top. Ça
caille dehors et a l'intérieur pas mal de coureurs sont sous les
couvertures de survie, ou mal en point... Je bois une petite tasse de
soupe au vermicelle, tucs, saucissons, fromage et quelques amandes.
Et hop direction tournaboup ou
m'attends logiquement mon père pour le dernier ravito. Dans
l'absolue je m'étais dit qu'il fallait pas abandonner avant
tournaboup mais que si j'arrêtais la c'était déjà pas mal. En
effet, tournaboup est au kilomètre 50 donc ca fait déjà un sacré
morceau.
La descente se passe bien. Je suis une
petit dame qui me demande 10fois si je veux la dépasser car elle
s'estime nulle en descente. Je lui explique que son allure me va très
bien. On arrive très rapidement au ravito. J'entends mon père
m'appeler juste avant. Il était caché sous un pylône a l'abri de
la bruine. Je vais biper au ravito et on se retrouve juste après. Je
passe à 15h41 au lieu de 18h02...
Je décide de prendre des pâtes mais
la ca déconne un peu. On me les sert dans mon eco tasse mais j'ai
pas de cuillère ni fourchette... J'essaie d'en manger avec les
doigts mais ca brule. Allez hop je fou tout ca a la poubelle et je
reprends un verre de coca, des tucs, du saucisson et du fromage.
Dehors mon père m'attends. Il est
chaud patate car j'ai dit a ma femme a artigues que j'avais une
petite douleur a la fesse. Il a donc apporté du voltarene et des
cachets. J'ai pas du tout envi de prendre froid donc pas question de
ma déshabiller pour me masser. Je prends un petit cachet. Je décide
également de changer de chaussette car les miennes commence a être
sacrement mouillé. Je passe aussi un coup de nok avant d'enfiler les
nouvelles. Mon père me propose de changer de tenue mais comme pour
la crème j'ai pas du tout envi de me foutre a poil par ce temps
pourri et vu que ma tenue me convient bien je reste comme ca. Un
petit mot d'encouragement du papa et hop en avant.
A partir d'ici on fini avec les
concurrents du 160kms qui sont parti 24h avant nous. Certains sont a
l'arrêt mais manifestement d'autres envoient encore la sauce.
Je me rends rapidement compte que j'ai
oublié de changer mon tube de sportenine... C'est la panique dans ma
tête de moineau. Je vais avoir des crampes elles vont me niker la
fin de course. Je suis une merde ahhhhhhhhhhhhhhhhh.
Âpres un rapide état des lieux il me
reste assez de « drogue » pour rejoindre l'arrivée.
Ouffff
Cette partie jusqu'au col de bareges de
m'a pas plu. La fatigue, le terrain très rude (des marches, des gros
bloc , des racines, des torrents a traverser etc. Je n'en vois pas le
bout et j'ai l'impression de perdre un temps fou.
Je me dit 50fois « heureusement
que tu es en avance car faire tout ca de nuit.... »
on arrive a la cabane d'aygue cluse.
L'ambiance est sympa mais je ne m'y arrête même pas. Il me reste de
l'eau et je me traine donc autant ne pas perdre de temps. Il reste
encore 300m de D+ avant le col de bareges donc au boulot. Deux gars
du 160 me disent « ben ca va 300m c'est même pas un tour de
piste au stade... » heu oui mais un tour de piste a la
verticale c'est rare...
mon cerveau tourne a plein régime pour
essayer de calculer vers quelle heure je vais en finir si je
maintiens la vitesse prévu sur mon tableau en 22h mais en ayant pris
de l'avance avant. Les comptes d'apothicaire s'enchainent et je sens
que je suis moins vif d'esprit qu'en temps normal... déjà que..
Le col de bareges est en plein vent.
Des bénévoles sont la (depuis quand ?? jusqu'à quand??) pour
nous biper... Quel courage.
Au col je me dis qu'il ne reste plus
que 20kms... « plus que ». drôle d'idée. C'est quand
même un semi a réaliser après 60kms...
Nous sommes toujours dans le brouillard
et la bruine. Je sature un peu. Pas de vue, encore et toujours ces
cailloux et ces bloques de pierre... la lac de l'oule qui n'arrive
jamais.
Heureusement un groupe me rattrape et
j'arrive a forcer le pas pour suivre. On discute et forcement le
temps passe plus vite. Le moral revient et je me refait la cerise. Le
lac de l'oule apparaît et il ne reste plus que les 450 dernier mètre
de D+ de la course. Plus que 450 mètre sur les 5000 de la course !!!
je vais y arriver. Le pied.
Le restaurant de merlan (dernier
ravito) arrive vite. Il se situe a mi pente. Comme d'hab tuc,
saucisson, fromage et une envie d'orange auquel je ne résiste pas.
Deux quartiers qui me file la niak. Je m'assoie quand même pour
virer des petits cailloux dans mes pompes et hop c'est reparti.
J'en oubli presque de dire qu'il est
20h15 au restaurant au lieu des 22h45 prévu. Je tiens donc toujours
la cadence,
Assez rapidement on atteint le col de
portet et sen ai fini des montées. Mais je sais également qu'il
reste 13kms.... 13kms de descente ou je suis une grosse truffe...
le départ est dure et très rapidement
je sens ma cuisse gauche se raidir. Elle est douloureuse a
l'impact....
on atteins espiaube et je vois des
lumières. Je demande a des gens sur le bord a combien nous en somme
de l'arrivée. Ils m'annoncent 6kms. C'est cool ;
je fais 2 kilomètre je traverse un
petit hameau et je redemande. Réponse >7kms... ahhh pas cool ca.
On traverse un bois. Il fait nuit on y
voit rien ca glisse j'en ai marre. J'avance plus. Je suis content de
faire du 6kms/h.... mais je tourne presque à 4km/h... pfiouuuuuuu c
long.
Je vois enfin la route de ce matin. Ça
y est on est presque a l'arrivée. Et paf un autre virage et je me
rends compte que c'est pas du tout la route de ce matin.
Un type m'annonce « encore »
4kms... quelle misère encore 1h.
La route serpente mais ne descend
pas... c'est sur le bitume c'est pénible.
Je traverse un autre hameau paumé dans
la montagne et je vois une mère et sa fille. Il fait nuit, ca
caille, il pleut et elles sont la toute les deux a nous applaudir.
J'ai envi de chialer. Je ralenti pour les remercier du bonheur et de
la force que ca apporte. Elles me répondent que ce sont elles qui me
remercie de leur apporté de la joie... ouahhhh chapeau a tous ces
gens sur le bord du chemin.
Je sors mon téléphone du sac et je
l'allume. J'avais dit a ma femme que je l'appellerai avant d'arriver
pour quelle se place avant la ligne. Mauvaise surprise, le suivi SMS
de mes passages au ravito qui a fonctionné nikel jusqu'à présent a
merdé pour le dernier pointage. Elle ne l'a reçu qu'a 22h (il est
22h15 quand je l'appelle) et ils viennent de décoller avec mon
père... Ils sont sur Tarbes et veille aure est a 1h30de route....
Elle me dit tranquillement que si je veux je peux attendre ou finir
tranquille...
A ce moment précis j'ai les nerfs. Je
suis fatigué...
je finis donc un peu le moral en
berne... je suis enfin dans vignec. Il ne reste que 1kms5 et c'est
finis. Je marche sur le plat. J'essaie de garder du jus pour passer
la ligne sans m'écrouler.
Ça y est c'est la dernière rue, ca
applaudie, ca encourage. Je retrouve la peche en sentant cette ambiance
Je passe la ligne.
Je passe la ligne.
On me bipe. Paf 17h36.... mon dieu
17h36 pour 80kms. Qu'est ce que je viens de faire.... la bénévole
me prends presque dans ces bras et me remets un sac a dos. Je vais
m'assoir plus loin pour me poser et voir l'intérieur du sac et
récupérer mon t shirt de finisher....
Bah merde y a rien a l'intérieur....
Le sac c'est le cadeau du finisher... Quelle blase. Un pauvre sac
pourri en lieu et place DU t shirt finisher. Comme par hasard ils font
ca pile poil l'année au je le fais....
je me relève et marche tranquillement
dans veille aure en attendant mon père et ma petite femme qui ne
tarderons pas a me rejoindre.
Juste après l'arrivée |
Je récupère une navette pour prendre
une douche bien mérité. Une petite bière offerte par le paternelle
sur la place permets de commencer un debriefing qui va durer un petit
moment. Quel plaisir d'être la et de partager ce moment.
Remerciements : Ça fait un peu remise de prix mais j'y tiens.
>Tout d'abord ma petite femme et mes
enfants. C'est grâce a eux que j'ai pu réussir à accomplir tout
ca. Me laisser du temps pour m'entrainer, me motiver pour perdre du
poids, me supporter avec mes éternelles questions a propos de ce
grp, venir me voir pour 5' de passage etc. je vous aime
>Mes parents qui sont venus nous
apporter de l'aide et du soutien durant la dernière semaine. Ça m'a
permis de penser a autre chose et de me libérer du coté logistique.
Envie aussi de leur prouver que le fiston est capable de se dépasser
au delà de ce qu'ils imaginent.
>La runnosphere (même si je ne fais
plus parti du groupe). Lire les blogs et sentir le plaisir de courir
donne toujours envie d'y aller.
>Rohnny du blog
http://joggingtime.skynetblogs.be
pour sa motivation légendaire, sa gentillesse et son courage
>Steph du blog
http://jeperdsmeskilosentrop.blogspot.fr
C'est grâce a lui que j'ai commencé a courir. Son blog est très
bien écrit et son plaisir a courir est contagieux.
>Gaëtan mon cousin pour la motivation,
les conseils et la bonne humeur
>Jp
http://jp-montagnepassion.blogspot.fr/
pour les photos de son blogs qui donnent envie de voir en vrai ce que
ca donne, un grand passionné très sympa.
>Tous mes amis qui ont eu un mot, un
message pour me motiver et m'accompagner dans la préparation ou
l'effort.
Salut jb! C'est vrai que j'ai été étonné de te voir déjà là, au pic du midi. Vu le temps que tu espérais mettre, j'ai eu peur que tu sois parti trop vite. Mais non, tu as couru à un rythme régulier et tu as finis avec un excellent chrono. On aurait pu faire la course ensemble. Félicitations pour ta course ainsi que pour ton récit qui m'a remis dans le bain. :-) A + jp
RépondreSupprimeravec plaisir JP.
SupprimerPutain JB, quelle CR, tu m'as quasi fais chialer, je suis ADMIRATIF mon ami, tu as un vrai mental, bravo bravo et encore bravo. Et puis tu m'a touché pour ton commentaire a mon sujet. J'espère juste qu'un jour je pourrais te saluer en live. Merci et bonne récupération.
RépondreSupprimerLe commentaire était sincere. Je trouve que la lecture des blogs apporte beaucoup et le tiens en particulier.
SupprimerBravo pour ton chrono et pour ton cr, tu as fait une superbe course, tu as peut être découvert, dans l'ultra, la discipline qui te convient et qui te procure une multitude d'émotions.Encore bravo!!!!
RépondreSupprimerJe me pose justement la meme question. Chacun a une discipline preferee. Serait ce la mienne???
SupprimerEt toi je suis ta prepa trail ca a l'air de bien gazer.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
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